Willy BORSUS :
« Nous avons toujours indiqué que plusieurs régions/pays étaient susceptibles d’être retenus (Royaume-Uni, Italie, Belgique…).
Evidemment, lorsqu’une partie de la gauche lance des pétitions, questionne au Parlement et critique par avance le futur investisseur, ce n’est vraiment pas une approche positive…
Le problème n’est pas, comme le Secrétaire d’Etat Thomas Dermine l’expose, le fait qu’un opérateur privé (le Monde Sauvage d’Aywaille) ait fait le choix de vendre à un autre opérateur privé. Par contre, des expressions hostiles vis-à-vis d’un groupe qui représente en France 2,5 millions de visiteurs et qui a investi en Espagne (Tolède) où il fut bien accueilli, sont évidemment très négatives.
J’invite mon collègue Dermine à tenter de convaincre ses amis de la gauche de l’importance de l’investissement privé plutôt que de faire de l’électoralisme à deux sous.
En effet, il y a toujours une possibilité d’accueillir un site du Puy du Fou à terme en Wallonie dès l’instant où un certain nombre de conditions sont réunies. »